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Catégorie : européennes

UMP 14eme circo Pas-de-Calais
VIP-Blog de ump14emecircopdc
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  • Créé le : 10/04/2009 13:03
    Modifié : 24/10/2010 13:30

    Garçon (42 ans)
    Origine : Hénin-Beaumont
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    CRISE FINANCIÈRE ET RÉACTION EUROPÉENNE

    11/06/2010 14:35

    CRISE FINANCIÈRE ET RÉACTION EUROPÉENNE


    ► La réaction européenne est-elle à la hauteur des attaques contre la zone euro et les Etats membres ?

     

    1) L’Europe était face à un double défi : elle devait faire preuve de sa solidarité politique et de sa solidité économique

     

    §  Face cette crise financière, la plus grave que l’euro ait connu depuis sa création et à l’heure où l’Europe est au pied du mur, il fallait organiser la riposte, prendre des décisions urgentes et apporter une réponse politique à la hauteur des enjeux : assurer la stabilité et l’unité de la zone euro et envoyer un signal très fort aux marchés dès lundi matin.

     

    §  Sous l’impulsion déterminante de la France et de l’Allemagne, un plan de stabilisation massif a été adopté (total de 750 Mds €)

     

    a) Tous les Etats membres se sont mis d’accord pour apporter leur garantie à hauteur de 440 milliards d’euros si un Etat est en difficulté pour se refinancer : c’est un moyen de siffler la fin de la partie pour tous ceux qui spéculaient contre certains Etats ou qui renchérissaient trop les taux.

    b) la Commission européenne prend toute sa part dans ce plan avec un fonds de stabilisation de 60 Mds euros. Cela vaut dire que c’est l’UE, en tant qu’entité propre qui empruntera pour prêter en cas de besoin à un Etat membre.

     

    c) le FMI intervient quant à lui à hauteur de 250 Mds €, sous forme de prêts en cas de besoin.

     

    d) enfin, la BCE intervient sur les marchés obligataires pour en garantir la liquidité.

     

    §  A ce stade, il ne s’agit que de garanties, mais c’est un message très fort en direction des marchés : message d’unité, de solidarité et de solidité. Et les moyens mis sur la table sont de nature à restaurer la confiance des investisseurs.

     

    2) Mais au delà des mesures d’urgences, il faudra aller plus loin et tirer toutes les leçons de cette crise. Il faut se doter d’un véritable gouvernement économique avec des principes essentiels : le renforcement de la surveillance économique et de la coordination des politiques économiques dans la zone euro ; la révision du Pacte de stabilité et de croissance pour renforcer les sanctions en cas de manquement répété aux règles ; la mise en place d'un mécanisme de management de crise pour l'avenir. 

     

    3) Enfin, cette crise doit nous inciter plus que jamais à réduire nos dépenses et à avoir une gestion rigoureuse de nos finances publiques. Tous les Etats européens sont confrontés à cela. On peut toujours discuter sur le mot « rigueur », cela ne change en rien la réalité.

     

    La rigueur, ce n’est pas forcément un gros mot, c’est même plutôt une qualité à partir du moment où cela consiste à évaluer l’efficacité des dépenses, à prioriser ses dépenses et surtout à supprimer toutes celles qui ne sont pas utiles ou pas efficaces.

     

    Gérer son budget avec rigueur, c’est ce que fait une entreprise, c’est ce que fait un ménage. On a cru que les Etats pouvaient vivre éternellement au-dessus de leurs moyens. La crise grecque n

    Et la rigueur, cela ne veut pas dire automatiquement des hausses d’impôts. Faisons d’abord à fond ce travail de réforme (retraites, fusion des CG et des CR), ce travail de baisse des dépenses (non remplacement d’un départ sur 2 dans la fonction publique et ses satellites) et donnons nous des gardes-fous efficaces (règle constitutionnelle). Et une fois que tout cela aura été fait, au bout du bout, on pourra regarder si des ajustements fiscaux sont nécessaires !

     

    Commencer par augmenter les impôts n’aurait aucun sens : cela ne ferait que reporter le problème en faisant payer les Français et cela casserait la reprise !

     

    ► Le plan en faveur de la Grèce est-il suffisant ?

     

    1) D’abord, il faut rappeler que les Etats membres devaient intervenir pour aider la Grèce à se sauver !

     

    La Grèce fait partie de la zone euro et les risques d’affaiblissement de notre monnaie, voire de contagion à nos économies ou à d’autres Etats, justifiaient cette intervention. Il ne faut pas être naïf : lorsque la Grèce est attaquée par des opérations spéculatives, c’est notre système financier qui est attaqué et au final nos entreprises et nos emplois. On avait tous intérêt à aider la Grèce , parce lorsqu’on aide la Grèce , on aide l’Europe, on aide la France.

     

    Notre message aux marchés et aux spéculateurs est clair : attaquer n’importe quel Etat membre, c’est attaquer notre monnaie et donc tous les Etats de la zone euro !

     

    2) L’Europe l’a bien  compris et la réaction est à la hauteur de l’enjeu :

     

    §  C’est un plan sans précédent (ce sont les 110 Mds €, dont 80 Mds € que les pays de l’Eurogroupe ont décidé de mobiliser pour aider la Grèce sur 3 ans) qui a été adopté à l’unanimité dimanche par les pays de la zone euro, en lien avec le FMI.

     

    §  Ce plan exceptionnel c’est la réponse de l’Europe à la situation exceptionnelle que traverse actuellement la Grèce qui ne parvient plus à accéder aux marchés financiers pour se financer. Ce plan concrétise le principe de solidarité qui avait été posé dès le mois de février à l’initiative notamment de la France. Son objectif est clair : mettre un coup d’arrêt à la spéculation et assurer la stabilité de la zone euro dans son ensemble

     

    §  Cet exercice de solidarité ne se limite pas aux seuls Etats : tous les ministres de l’Eurogroupe sont également tombés d’accord pour voir, dans leur pays respectif, avec les représentants des secteurs bancaires quelles contributions les banques pourraient apporter.

     

    3) Nous avons pris nos responsabilités en étant solidaire de la Grèce , pour autant cette solidarité n’exclut pas l’exigence!

     

    §  En contrepartie de cette aide, la Grèce a présenté un plan d’économies certes très dur, mais indispensable pour rétablir la confiance, redresser ses finances publiques et réduire, dès cette année, le déficit public de 4 points de PIB. Elle s’est également engagée à poursuivre cet effort en 2011 et 2012 pour ramener le déficit public sous le seuil de 3 points de PIB d’ici 2014.

     

    Nous veillerons à ce que les engagements de la Grèce soient scrupuleusement respectés. Ce sera tout le rôle de la Commission européenne et du FMI. Les décaissements seront d’ailleurs conditionnés au respect du programme convenu :

    ð Ramener le déficit budgétaire de 13.6% en 2009 à 8.11% en 2010 et 6.5% en 2012 pour atteindre 2.4% en 2014.

     

    ð Gel des salaires des fonctionnaires jusqu’en 2014.

     

    ð Suppression des 13 et 14ème mois des traitements des fonctionnaires.

     

    ð Hausse de l’âge légal de départ à la retraite : aucun départ à la retraite ne sera autorisé avant 60 ans.

     

    ð Majoration de la TVA de 2%.

     

    ð Nouvelle taxe de 10% sur l’alcool.

     

    §  Enfin, qu’une chose soit claire : il ne s’agit en aucun cas d’un cadeau à la Grèce  mais d’un dispositif exceptionnel pour préserver la stabilité financière de la zone euro. Ce prêt, c’est donnant-donnant. Nous prêtons, pour 3 ans, à un taux très proche de ceux du FMI. Bien évidemment, il ne s’agit pas non plus de gagner de l’argent sur le dos de la Grèce , mais de garantir la crédibilité de ce plan de soutien en incitant la Grèce à retourner sur les marchés le plus rapidement possible.

     

    ► Tout risque de contagion aux autres pays de l’UE est-il écarté ?

     

    Il ne faut pas tout mélanger. La situation des autres pays européens n’a rien à voir avec celle de la Grèce. La crise que traverse aujourd’hui ce pays est due à l’ampleur de son déficit et de sa dette mais également au fait qu’elle ait suscité la méfiance en cachant la situation réelle des ses finances publiques. C’est un cas tout à fait particulier.

     

    Pour ce qui est du Portugal et de l’Espagne, la situation est là aussi très différente. Rien n’autorise à remettre en question la crédibilité ou la soutenabilité de leurs finances publiques. Ces pays sont tout simplement victimes d’une crise spéculative déclenchée à l’occasion de la crise grecque.

     

    Quand à la France , les Français n’ont aucune raison de s’inquiéter :

     

    §  Dans ce genre de périodes, les investisseurs se réfugient plutôt vers les émetteurs dont la signature est la meilleure. C’est le cas de la France qui a su conserver, grâce à la politique responsable menée par le Gouvernement pendant la crise, sa signature et donc la confiance des marchés.

     

      Les choix faits par le Gouvernement ont permis à notre pays de mieux résister que ses principaux partenaires : la récession a été beaucoup moins brutale en France que dans les autres pays de l’OCDE et, en 2010 et en 2011, les organisations internationales nous placent nettement au-dessus de la zone euro en termes de croissance.

     

    Nos derniers chiffres de déficit pour 2009 ont été inférieurs à nos propres prévisions, grâce à une politique de maîtrise des dépenses publiques efficace, basée sur le gel des dépenses de l’Etat en volume et la réduction des effectifs des fonctionnaires. Cette politique sera confirmée lors de la deuxième session de la conférence sur les déficits publics qui se tiendra au mois de mai. Nous sommes déterminés à poursuivre les réformes structurelles dont notre pays a besoin pour garder la qualité de sa signature et augmenter son potentiel de croissance.

     





     
     


     

    Europe : vers un plan commun pour défendre l’euro

    13/05/2010 10:20

    Europe : vers un plan commun pour défendre l’euro


    L’Europe pourrait parvenir à un plan de 750 milliards d’euros pour décourager la spéculation et soutenir les pays menacés
    Cette initiative française pourrait permettre de ne pas « déstabiliser la zone euro car derrière, il y a la croissance des européens, les emplois», a expliqué Nicolas Sarkozy. L’expérience de la crise sans précédent en Grèce force la communauté européenne à prévenir toute forme de contagion vers d’autres pays de l’union.
    La proposition d’un plan de 750 milliards d’euros se répartirait en 60 milliards d’euros de prêts cédés par la Commission européenne, 440 milliards venant des pays de la zone euro sous forme de prêts bilatéraux ou de garanties et 250 milliards d’euros que fournirait le Fonds monétaire international (FMI).

    La création de ce fond européen d'assistance financière est une première étape dans la stabilisation de la zone euro. L’urgence étant de parvenir à un réel assainissement des finances publiques de l’ensemble des membres de l’union européenne. Les Seize entendent ainsi renforcer la gouvernance économique et la régulation des marchés financiers pour lutter contre la spéculation.
    La Banque Centrale Européenne devrait également être mise à disposition dans ce vaste plan de sauvetage de la zone euro.





     
     


     

    Crise et protectionnisme

    10/05/2009 09:58

    Crise et protectionnisme


    Face aux dégats sur l'emploi engendrés par la crise, certains partis politiques prônent un retour au protectionnisme. L'Europe et les Etats doivent-ils orienter leurs politiques économiques dans cette direction?

    La crise que nous vivons actuellement ne doit pas être un frein à l'ouverture du marché européen. Faut-il rappeller que le marché intérieur européen permet à la France de réaliser les 2/3 de son commerce extérieur.

    Les bases jetées dès 1968 avec l'union douanière, puis en 1986 avec l'Acte Unique et enfin en 1992 lors du Traité de Maastricht nous ont permis de former un marché aux débouchés spectaculaires : il représente aujourd'hui 495 millions de consommateurs. Autant dire que l'Europe en temps de crise est plus une force qu'une faiblesse. Nous replier sur nous-même est une tentation qui serait en réalité un non-sens économique.

    Il ne faut pas renoncer au rêve européen même si, avec la crise, il existe des tendances naturelles de retour au protectionnisme.

    Certes, le peuple français a exprimé ses doutes, ses incompréhensions devant certaines évolutions, son refus de certaines dérives. Il faut en tenir compte.

    Mais il faut le faire en cherchant des voies nouvelles :
    - une pause dans l'élargissement car notre capacité d'intégration a des limites
    - de nouvelles règles de gouvernance pour éviter la paralysie d'une trop lourde machine
    - des projets concrets pour répondre aux attentes réelles des Européens, par exemple la sécurité énergétique, la lutte contre les pollutions, la préservation de la santé, ou la maîtrise des flux migratoires
    - la relance enfin, pour ceux qui en ont le désir, d'un vrai projet politique qui donnera à l'Europe les moyens de conduire une stratégie cohérente de croissance et d'emploi, tout en défendant sa vision de la marche du monde.

    La construction européenne, dans un monde chaotique, est un miracle.

      

                                     N.R

     

     

     

     

     

     




     





     
     


     


    Quand l'Europe veut, l'Europe peut...

    C'est autour de cette thématique que nous avons débattu lundi 27 avril à Lens , en présence de Dominique Riquet, tête de liste UMP aux européennes de juin 2009 et de Tokia SaÏfi députée européen.

    Les préocupations de nos concitoyens, en cette"Annus Horribilis" sur le plan économique ont été abordées à l'échelle européenne. En effet, même si la crise, mondiale, a et aura encore des répercussions sur notre économie, il n'en demeure pas moins que l'Union Européenne, sous la présidence française a su trouver les réponses adéquates. Nous avons évité de justesse une crise de 1929 aux effets dévastateurs pour la France et l'Europe. Qu'en serait-il si nous n'avions pas eu l'Europe? Nous aurions peut- être eu la guerre!!! N'oublions pas que l'objectif premier de la construction européenne, à partir de 1951, c'est la paix entre les nations.

     

    Il s'en est suivi un échange avec la salle sur la monnaie unique, les délocalisations et les réformes futures de la PAC.

     

     

     





     
     


     

    Les réalisations de l'Europe dans le Nord-Ouest

    24/04/2009 14:44



    L’EUROPE AU SERVICE DE L’AVENIR : LE CANAL SEINE-NORD EUROPE

    Le 11 mars a été conclu à Béthune le plan de financement du Canal Seine-Nord pour lequel l’Europe va apporter plus de 400 millions d’euros.

    Ce chantier s’inscrit pleinement dans la logique du Grenelle de l’Environnement et du plan de relance gouvernemental.

    Son tracé reliant l’Oise au Canal Dunkerque-Escaut concerne 4 régions (Picardie, Ile-de-France, Haute-Normandie et Nord Pas-de-Calais) reliera le grand Bassin Parisien au Nord de l’Europe, jusque Europe Centrale.

    Au sein du corridor européen le plus congestionné, le canal permettra de transporter au cœur des grandes agglomérations et des centres industriels les marchandises dans les meilleures conditions de fiabilité, de sécurité et de coût, tout en réduisant l’impact environnemental du transport en terme de trafic routier, de pollution, de sécurité et de bruit.

    L’impact en termes d’emplois sera considérable tant à long terme par l’attractivité économique des régions traversées qu’il va entraîner (meilleure accessibilité, création de plateformes logistiques, activités de loisir fluvial : 25 000 emplois attendus d’ici 2030), qu’à court terme par le chantier lui-même (4 000 emplois immédiats).

    Ce projet ouvre pour la première fois en Europe le champ d’une large coopération européenne dans le domaine du transport et plus largement dans celui des grands travaux de dimension européenne.

    L’EUROPE AU SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT

    Les inondations qui ont touché la vallée de la Somme en 2001 ont été une catastrophe sans précédent pour la région et ont affecté l’ensemble de la population et l’activité économique.

    Pour éviter autant que possible qu’une telle catastrophe ne se reproduise, il a fallu mener des travaux extrêmement lourds de prévention et de remise en état de la Somme canalisée.

    En partenariat avec les collectivités et l’Etat, l’Europe y a contribué à hauteur de plus de 13 millions d’euros.

     

    Ces travaux ne se sont d’ailleurs pas limités à la sécurisation. Ils ont également contribué à l’aménagement de cette vallée qui a acquis une reconnaissance internationale en matière d’espaces naturels et est ainsi devenue un élément moteur de développement touristique et économique de la région.

    L’EUROPE AU SERVICE DE NOS VILLES

    Grâce au programme URBAN, la ville du Havre a mis en place un ambitieux projet de développement économique et social en faveur des quartiers du sud de la ville.

    Ces quartiers s’étendant sur un territoire de 800 hectares présentent une mixité fonctionnelle importante :

    17 000 habitants (7 000 logements dont 3 400 logements sociaux)

    16 000 salariés (dans 1 400 entreprises)

    Ces quartiers très liés par leur histoire au port nécessitaient une urgente politique de revitalisation.

    La ville du Havre a été désignée « Autorité de Gestion » par la Commission européenne pour gérer directement les fonds européens (seule ville avec Bastia à assumer une telle responsabilité).

    Avec une participation de plus de 11 millions d’euros, l’Europe a contribué avec la ville à favoriser la cohésion sociale, l’emploi et la formation, à soutenir le développement économique et à restaurer le cadre urbain, au profit de tous les habitants.

    Au total, ce sont plus de 200 actions qui ont vu le jour pour un coût global de 30 millions d’euros grâce au programme européen URBAN, en s’appuyant sur le tryptique du développement durable: le social, l’économique et l’environnemental.

    L’EUROPE AU SERVICE DE L’EMPLOI

    Au-delà des grands projets d’infrastructure leviers de développement économique, l’Europe intervient également de façon plus ponctuelle pour soutenir un secteur ou une initiative.

    Ainsi de 2007 à 2013, la région de Basse-Normandie recevra de l’Europe plus de 7 millions d’euros en faveur du secteur de la pêche.

    L’usine MONTUPET SA de LAIGNEVILLE (Oise) a reçu 2 millions d'euros de soutien à ses investissements industriels (sous-traitante automobile).

    L’Europe intervient également en faveur de populations exclues de l’emploi (une subvention de 140 000 euros a ainsi permis de faciliter le retour à l’emploi de personnes handicapées dans le Calvados).

    Les exemples de telles interventions de l’Europe sont innombrables dans nos régions et contribuent de façon directe au mieux-être de tous leurs habitants.

     





     
     

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